Niché par-delà les montagnes qui décrivent la beauté de l’Angleterre, se terre un magnifique village nommé Saint-Adams par ses fondateurs du même nom, il y a de cela plusieurs siècles. L’endroit est le fleuron de la bourgeoisie et de la royauté du monde entier, surtout reconnu grâce à son pensionnat pour jeunes hommes, fondé il y a de cela quarante-et-un an par la richissime famille Adams. Il s’agit de l’établissement d’éducation le plus reconnu pour engendrer l’élite la mieux établie au monde. Les jeunes adultes des meilleures familles y apprennent tant gestion de leur patrimoine, que la bienséance ainsi que toute forme de savoirs. Particularité du village, la population est exclusivement masculine. Qui serez-vous ?... Un étudiant brillant et sérieux ou un membre de la jeunesse dorée profitant de l'argent de papa ? Un professeur bien sympathique ou au contraire sadique ? Ou peut-être, un simple villageois vivant de folles aventures ? Le choix est vaste, et il ne tient qu'à vous de franchir les grilles de ce pensionnat..more~
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Evénements
Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli ? Duplexque isdem diebus acciderat malum, quod et Theophilum insontem atrox interceperat casus, et Serenianus dignus exsecratione cunctorum, innoxius, modo non reclamante publico vigore, discessit.
FORUM SCHOOL CITY RPG YAOI NC-18
everything is falling apart
Les rumeurs du Vilage : Infos ou intox ?
Il était un petit navire, qui n'avait ja-ja-jamais navigué ohé ohésavez-vous plantez-les choux, ... vive les courgettes et les dromadaires1+1=2tous pour huns, huns pour attila
Nouvelle soirée sous les projecteurs. Presque en tout cas. Il ne manquerait pas grand chose pour me combler de bonheur. Si mon frère pouvait me donner signe de vie, au lieu de profiter des grandes étendues australiennes sans penser à moi ... Je ferme les yeux un instant et j'imagine le ronronnement de sa moto et son visage, creusé par la vie mais rempli de ce plaisir que procure la liberté. J'aimerais être avec lui. J'aimerais découvrir ce pays gigantesque en compagnie de mon frère et rencontrer les gens qu'il rencontre.
Mais ce n'est pas possible, et je ne peux même pas me soulager en sortant ma moto sans lui, elle fait un bruit étrange depuis plusieurs semaines et je n'y connais rien en mécanique. Du moins pas assez pour trouver de quoi il s'agit. Cependant, j'ai entendu parler d'un gars qui saurait peut-être m'aider, et j'ai bien l'intention d'aller m'enquérir moi-même de ce qu'il en est. Hors de question de passer par des messagers sans savoir si ça arriera dans les bonnes oreilles au bon moment. Donc ce soir, tenue correcte exigée. Comme d'hab' en fait.
Je quitte mon garage sur mon trente-et-un et je me dirige d'un pas tranquille vers le centre-ville où m'attendent musique, bonne compagnie et espoir. Parce que oui de l'espoir j'en ai, avec ce fameux mécano qui bosse comme videur. Alors inconsciemment, j'accélère le pas pour rejoindre rapidement le lieu où tous les types branchés se retrouvent le soir pour profiter d'un bon moment et plus si affinités. Je découvre sur place des têtes familières qui me sourient ou me saluent, mais également comme chaque soir des visages inconnus.
Les videurs ne se font pas prier pour me laisser entrer, je suis de ceux qui attirent du monde dans leur salle, l'un des "trésors" de la soirée. J'ignore si je chanterai ce soir, ça m'arrive plutôt au feeling depuis que j'ai perdu le contact avec mon ancien groupe. Je prends rapidement possession des lieux en flânant entre les danseurs et autres strip-teaseurs qui se frottent à moi sans retenue. J'aime cette endroit, la chaleur qu'il dégage dans tous les sens du terme. J'aime sentir qu'on me désire et j'aime désirer ceux qui savent attirer mon regard.
Alors que la soirée bat son plein, je pose mon troisième verre sur le bar et me dirige vers un type un peu éméché assis à une table et bien entouré, évidemment. Je le salue d'un signe de la main et d'un sourire amical, il me fait signe de m'asseoir avec lui. Quelques minutes de discussion me suffisent pour obtenir la description physique et, justement, l'emplacement du gars que je suis venu voir ce sori. Je dois avouer qu'il est ce genre d'homme qui me plait, physiquement tout du moins. Je m'approche de lui sans plus tarder, souriant toujours.
- Rhys Torres, c'est toi ? Thomas m'a dit que tu connaissais bien les motos ? Je cherche un mécano pour ma douce, elle est pas bien en ce moment.
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Jeu 22 Aoû - 18:06
Mécano en vueUne nuit comme les autres. J'ai commencé par surveiller l'entrée du club avec un de mes collègues – James, un chic type – avant de rentrer pour contrôler l'intérieur. C'est toujours la même rengaine : vérifier les cartes d'identité, foutre à la porte les mecs commençant à se fritter entre eux pour des conneries, bavarder avec le barman lors des moments de creux … J'arrive même à sortir fumer une clope avec James, c'est dire l'animation de ce soir.
Les voix s'élèvent soudainement, attirant mon attention vers l'entrée. Là, les cheveux noirs presque bleus sous les projecteurs, se trouve une des coqueluches du club. Sa gueule d'ange est connue de tous ici, même de moi c'est dire. Il nous attire des clients, mais aussi de nouvelles emmerdes. Je ne le connais pas personnellement : tout ce que je sais de lui, c'est qu'il traîne une certaine popularité et profite ouvertement de sa belle gueule.
Un petit soupir s'échappe de mes lèvres alors que j'échange un regard avec le barman, dépité. Pas que je crache sur un peu d'animation, au contraire même, mais je n'aurais pas été contre une soirée sans emmerde pour changer un peu.
Me désintéressant du nouvel arrivant, je m'appuie contre un mur, bras croisés, et observe les alentours. La musique bat son plein, de nombreuses personnes viennent d'arriver et se précipitent tantôt au bar tantôt sur la piste. Les strip-teasers reçoivent d'un coup plus d'attention et reprennent leur danse langoureuse auquel je jette un petit coup d'oeil appréciateur.
« Rhys Torres, c'est toi ? »
Je lève les yeux sur le mec m'ayant interrompu. Putain il est grand, que je me dis en premier alors que j'ai finalement la coqueluche du club en face de moi. Je pensais pas, mais il me dépasse de quelques centimètres et m'oblige à lever la tête. Rien de dramatique. Beaucoup de mecs sont plus grands que moi, dans cette ville… mais ça les rend d'autant plus fun à foutre par terre, eux et leur égo.
Comprenant qu'il est après moi pour mes talents de mécano, je laisse un petit rictus narquois étirer mes lèvres. Il est peut-être plus grand, mais c'est moi le plus vieux. « Tu sembles bien informé. » Me redressant du mur contre lequel je me reposais, je continue sur un ton amusé. « Tu as de quoi me payer ? … Je ne prends pas les paiements en nature... Du moins, pas venant d'étudiant à peine majeur. »
Difficile de résister à la tentation de l'emmerder un peu. Il a bien plus à perdre que moi, s'il vient me voir spécifiquement pour sa bécane, alors je n'hésite pas à tourner autour du pot. Mon visage finit toutefois par se faire un peu plus sérieux, plus dur, alors que je marmonne dans ma barbe, plus pour moi-même qu'à son intention : « Thomas, hein ? Ça fait longtemps qu'il m'a pas rappelé pour sa moto, le con. »
Observant un instant la salle pour m'assurer que rien ne se trame pendant que j'ai le dos tourné, je lui offre finalement toute mon attention. « Je t'écoute. Qu'est-ce qu'elle a, ta moto ? »
Je lui jette un coup d'oeil amusé et un sourire en coin. Serait-il en train de me provoquer ouvertement ? Je me rapproche de lui pour que ma voix passe à travers la musique. L'air heavy qui s'extirpe des basses empêchent de discuter sur un ton calme et m'oblige à hausser la voix pour me faire entendre. Quand à prétendre que je suis à peine majeur ? Quel âge a-t-il pour s'estimer à ce point plus âge que moi ? Il ne semble pourtant pas vieux.
- Mon corps est trop précieux pour en faire un vulgaire moyen de paiement.
Maintenant si l'envie lui prend de s'amuser tout en passant un bon moment ... Mais rapidement la conversation reprend de son sérieux originel et chacun garde sa place envers l'autre. Je ne le connais pas, il ne me connait pas et aucun de nous n'est visiblement intéressé par les talents sexuels de l'autre. Alors je laisse retomber mon sourire pour arborer une mine inquiète, parce que ma moto ce n'est pas qu'un jouet à mes yeux.
- Elle ronfle quand je démarre, mais genre, comme si elle était enrhumée tu vois ? Elle dort au garage sous une housse donc je ne pense pas qu'elle soit enrayée. En tout cas pas par les intempéries ou la poussière.
Quand à savoir exactement ce qui la rend aussi ronchonne, c'est là que je pêche. Il n'y a pas grand chose que je ne donnerais pas pour pouvoir l'entendre de nouveau ronronner comme avant. Je sais ma pensée stupide et naïve mais ... est-ce qu'une bécane peut déprimer de l'absence de sa pote ? Harley est parti avec la sienne, peut-être qu'elles se manquent ? Je ricane intérieurement à la réflexion, reposant rapidement mon attention sur mon sauveur.
Si quelqu'un peut faire quelque chose pour moi, je pense que c'est ce type. Alors autant me montrer le plus attentif possible, ne serait-ce que pour prouver ma bonne volonté. C'est qu'il ne doit pas y avoir beaucoup de mec taillés comme moi qui ne se pointent pas en boîte pour draguer. Il est même possible qu'il pense à une magouille de ma part pour l'attirer dans mes filets. Mais mon inquiétude elle, est bien réelle et se voit sur mon visage.
- Tu pourrais passer la voir, à l'occas' ? J'te dédommagerais pour le déplacement aussi, cela va sans dire.
De toute façon je ne pourrais pas l'amener à lui, je n'ai ni voiture ni remorque pour la déplacer moi-même. Je suis condamné à chercher une bonne âme qui acceptera de venir soigner mon bijou directement à domicile. Je jette quelques regards autour de nous, percevant des yeux intrusifs qui cherchent à attirer les miens. Chose habituelle pour moi, je me détache rapidement de l'attention que j'inspire à ces messieurs, concentré sur Rhys.
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Mecano en vue PV Rhys J. Torres
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