Niché par-delà les montagnes qui décrivent la beauté de l’Angleterre, se terre un magnifique village nommé Saint-Adams par ses fondateurs du même nom, il y a de cela plusieurs siècles. L’endroit est le fleuron de la bourgeoisie et de la royauté du monde entier, surtout reconnu grâce à son pensionnat pour jeunes hommes, fondé il y a de cela quarante-et-un an par la richissime famille Adams. Il s’agit de l’établissement d’éducation le plus reconnu pour engendrer l’élite la mieux établie au monde. Les jeunes adultes des meilleures familles y apprennent tant gestion de leur patrimoine, que la bienséance ainsi que toute forme de savoirs. Particularité du village, la population est exclusivement masculine. Qui serez-vous ?... Un étudiant brillant et sérieux ou un membre de la jeunesse dorée profitant de l'argent de papa ? Un professeur bien sympathique ou au contraire sadique ? Ou peut-être, un simple villageois vivant de folles aventures ? Le choix est vaste, et il ne tient qu'à vous de franchir les grilles de ce pensionnat..more~
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Evénements
Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli ? Duplexque isdem diebus acciderat malum, quod et Theophilum insontem atrox interceperat casus, et Serenianus dignus exsecratione cunctorum, innoxius, modo non reclamante publico vigore, discessit.
FORUM SCHOOL CITY RPG YAOI NC-18
everything is falling apart
Les rumeurs du Vilage : Infos ou intox ?
Il était un petit navire, qui n'avait ja-ja-jamais navigué ohé ohésavez-vous plantez-les choux, ... vive les courgettes et les dromadaires1+1=2tous pour huns, huns pour attila
A contre cœur, et sinon j'allais vite perdre la tête, je dus faire stopper les caresses de Edouard sur mon corps. Enfin, surtout sur mes tétons... Si je le laissais continuer, j'allais totalement me laisser aller. Et ce n'était pas le but. Je voulais le surprendre et lui montrer que je pouvais lui faire du plaisir. Je saisie alors ses poignets pour le faire arrêter. Le temps de reprendre mon souffle et retirer mon pantalon. Je vins par la suite me placer à genoux entre ses jambes, le surplombant quelques peu. Je passais mes bras autour de sa nuque et le prévins que mon boxer était de marque et que j'aimerai éviter de le salir... une invitation à le retirer entre autre. Je me penchais pour l'embrasser avant de lui demander s'il comptait garder son pantalon. Et naturellement, j'avançais légèrement mon genou contre son entre jambe pour lui faire une petite pression sur son érection. Je ne pus m'empêcher de rire quand il m'annonça qu'il risquait de m'acheter de nouveau boxer, car il allait en déchirer.
« C'est très sexy ce que tu dis... »
Je frottais doucement mon nez contre le sien en un baiser esquimau avant de le laisser de reculer pour qu'il retire son bas. Je passais mes bras autour de lui quand le brun revint vers moi et répondis avec passion à son baiser. Je lâchais un gémissement quand nos lèvres se détachèrent après quelques minutes avant de me pincer les lèvres quand je sentis ses dents contre mon oreille.
« Retire le moi... »
Soufflai-je, presque en une supplication. Je sentis ses mains arriver sur mes cuisses et mon boxer descendre doucement sur mes jambes. Je me tins à lui pour le retirer totalement avant de me laisser allonger sur le dos. Je rougis et détourner le regard.
« Tu sais là.. c'est grave gênant en fait... que tu me regardes comme ça...et que je sois le seul complètement nu. »
Et que j'étais des plus excité et ça se voyait. Stressant aussi. Et s'il me trouvait pas à son goût ? Mais non Nate, il m'avait déjà vu nu. Il ne voudrait pas coucher de nouveau avec moi si j'étais pas à son goût... c'est qu'il me trouvait beau et désirable si on en était là !
« C'est froid ! »
Lâchai-je quand je sentis le liquide de l'huile de massage arriver sur mes cuisses. Mais ça se réchauffa vite. Les mains de Ed se baladèrent jusqu'à saisir mon membre, me faisant gémir. Je posais une main devant ma bouche.Je la retirai quand il vint m'embrasser. Le visage rouge, je le regardai avec une moue.
« Je t'aime surtout toi... Je laisserai personne d'autre me faire un tel massage... »
Avouai-je avant de passer une main derrière sa nuque. Je bougeais une de mes jambes pour l'inviter à venir entre mes cuisses.
« J'ai envie de toi... »
Lui dis-je en le regardant droit dans les yeux, excité.
Quand tu lui retires son boxer et que tu l’allonges sur le lit, tu as tout le loisir de pouvoir le dévorer du regard. Après tout, qui ne le ferait pas ? Nate est tellement parfait, tellement beau… Il le sait et pourtant, tu as l’impression qu’avec toi, il est toujours plein de doute. Comme s’il avait peur qu’il ne te plaise pas assez. Alors que tu n’as clairement jamais ressenti une telle attirance pour personne d’autre. Il n’est pas juste parfait physiquement. Tout chez lui te plait, même son petit caractère de cochon ! Et tu comptes bien passer ton temps à le lui faire comprendre. Tu entreprends donc de le masser, mais très vite l’une de tes mains dévie sur son sexe et tu te penches pour venir l’embrasser et cueillir ses gémissements. Bon sang ce que tu aimes l’entendre gémir contre tes lèvres. Tu trouves ça tellement sexy…
Tu recules juste assez pour l’écouter parler et tu clignes un peu des yeux. Pendant tout un temps, tu as bien cru qu’il ne te dirait jamais qu’il t’aime. Mais maintenant que tu as son amour, tu adores l’entendre te dire qu’il t’aime. Tu souris tendrement avant de venir lui voler un autre petit baiser. Mais il y a un détail que tu dois clarifier par rapport à ce qu’il vient de dire. Alors, tu souris à nouveau.
« J’espère bien que tu ne laisseras personne d’autre te masser comme ça. Surtout vu où se trouve ma main en ce moment. »
Tu souris un peu plus, preuve que tu n’imagines même pas qu’il puisse se laisser toucher de cette façon par un autre homme. Si ça devait arriver, tu n’es vraiment pas certain que tu pourrais t’en remettre. Autant quand il était avec la mère de Charlie tu pouvais te faire à l’idée que c’était une sorte d’obligation, autant avec un autre homme, tu ne pourrais sans doute pas l’accepter.
Tu vois ensuite son léger mouvement de la jambe et tu l’entends te dire qu’il a envie de toi. Ton cœur manque un battement dans ta poitrine et ton regard change, se faisant un peu plus affamé. Est-ce qu’il a conscience de l’effet que ces paroles ont sur toi ? Probablement pas. En tout cas, tu ne te fais pas prier davantage avant de te glisser entre ses cuisses. Ta main toujours sur son sexe continue de le caresser un petit peu avant qu’elle ne glisse plus bas. Deux de tes doigts huileux viennent alors caresser son petit œillet et au bout de quelques caresses, tu les fais lentement entrer en lui. Tu grondes à la simple sensation de sa chaleur intérieure autour de tes doigts.
« Et moi donc… j’ai toujours envie de toi… »
Bon, il va peut-être te prendre pour un pervers, mais c’est la vérité. Ce n’est pas toujours sexuel pourtant. Le simple fait de l’avoir près de toi suffit à apaiser un manque. Un manque qui a grandi pendant des mois en pensant que tu ne pourrais pas l’avoir pour toi, qu’il ne tenait pas assez à toi pour vouloir affronter la réalité. Mais maintenant qu’il est là avec toi, tu ne vois plus aucune raison de te cacher. Tu aimes passer du temps avec lui, tu aimes être tendre avec lui, mais tu aimes aussi tout particulièrement lui faire l’amour. Et puis, c’est lui qui a commencé la première fois dans ta cuisine !
Tu te penches à nouveau pour venir l’embrasser avec amour, très lentement, remuant tes doigts en lui pour le préparer. Tu ne tiens pas à lui faire mal. Alors, tu te montres très tendre, presque lent. Tu t’amuses à cela quelques instants avant de retirer finalement tes doigts pour te positionner correctement entre ses cuisses. Tu guides ton membre contre son intimité et, lentement, tu t’enfonces en lui. Tu grondes de bonheur, t’arrêtant une fois complètement en lui. Tu reviens l’embrasser avec plein d’amour avant de le regarder dans les yeux.
« Je t’aime, Nate… »
Et tu commences à onduler des hanches, allant et venant en lui sans plus chercher à contenir tes petits râles de plaisir.
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Jeu 22 Aoû - 16:51
Rendez-vous galant
Tellement beau, tellement parfait. Ça je le savais que je l'étais ! Mais devant Edouard, allez savoir pourquoi, je perdais mes moyens... j'avais peur que le moindre petit truc de travers puisse le faire fuir. Je devais vraiment être amoureux pour avoir peur de le perdre, juste pour un bouton. Mais c'était plus fort, outre mon énorme peur de l'abandon qui resterait sûrement à vie, je voulais aussi être vraiment parfait à ses yeux. Et qu'aucun autre homme ne puisse le faire détourner le regard de moi. Qu'il m'aime, moi et moi seul. Toute sa vie... Je ne pensais pas supporter une nouvelle rupture -toujours à initiative de mon partenaire- parce que -insérez ici une excuse bidon-.
De toute manière, mon cerveau n'allait pas continuer longtemps à se prendre le chou, à cause du massage du brun sur mon corps et surtout sur mon entre-jambe. On allait dire que le plaisir pris vite le dessus. Et l'envie aussi... J'avais tellement envie de ne faire qu'un avec lui. J'en trémoussais presque d'impatience. Je bougeais une de mes jambes pour l'inviter à venir entre mes cuisses. Visuellement et oralement, le message était clair. Edouard ne se fit pas prier et vint se caler entre mes cuisses. Je souris et serrai mes jambes autour de son bassin. Je le sentis me préparer avec ses doigts et gémissais. Aaah, il était toujours impossible pour moi de me retenir. J'avais beau essayer, mettre ma main devant ma bouche, je donnais toujours trop de voix. Et c'était pas exagéré. Je pense qu'il était impossible pour moi de simuler ce genre de chose. Maintenant, j'espérai que ça ne lui casse pas les oreilles ! Je répondis à son baiser, tout en passant mes mains dans sa nuque et à l'arrière de son crâne. Je le caressais, m'agrippais à lui avant de le sentir entrer en moi. Je détachai ma bouche de la sienne, mais passer mes bras autour de sa nuque.
« Moi aussi... je t'aime Edouard. »
Je lui souris amoureusement avant de fermer les yeux alors qu'il commençait à me donner des coups de va-et-vient. C'était juste exquis.
On fit l'amour plusieurs fois et plusieurs heures avant que mon corps n'en puisse plus. Lui en pouvait peut-être encore, mais moi j'allais m'écrouler de d'épuisement à force d'avoir jouis. Et donc à nos derniers ébats, je lui fis un long baiser amoureux avant de me lover contre son torse. On était tout transpirant et collant.
« J'ai tellement pas la force de bouger alors qu'on est tout collant... je peux pas dormir comme ça. »
Gémis-je contre lui, en frottant mon nez contre sa nuque.
« J'ai plus de force... »
Murmurai-je contre sa peau.
« Je crois qu'on m'a jamais fait l'amour comme ça...je suis heureux. »
Faire l’amour avec Nate est toujours un immense plaisir pour toi. Pas seulement au niveau sexuel, mais aussi au niveau sentimental. Quand il te dit qu’il t’aime, tu sens ton cœur fondre à chaque fois. Tu as attendu tellement avant de l’entendre te le dire pour la première fois… Alors à chaque fois, c’est comme si c’était la toute première fois. Il ne sait sans doute pas à quel point il peut faire chavirer ton cœur, mais c’est bel et bien le cas. Tu te donnerais corps et âme pour lui. Et tu comptes bien passer ton temps à le lui montrer. Et il n’y a pas besoin de sexe pour ça. Tu veux que ça se passe au quotidien. De petits gestes, de petites attentions, des mots d’amour… Et oui, bien entendu des étreintes charnelles que tu comptes bien rendre les plus belles, les plus tendres et les plus amoureuses.
Tu lui fais l’amour plusieurs fois, avec autant d’amour que tu le peux. Tu ne lésines pas sur les forces que tu y laisses. De toute façon, avec Nate, tu pourrais l’aimer jusqu’à l’épuisement. Dans le lit, épuisés tous les deux, tu viens le serrer contre toi, souriant un peu quand il dit qu’il ne peut pas dormir dans cet état mais qu’il est trop fatigué pour pouvoir bouger. Tu te penches pour l’embrasser tout doucement, venant ensuite lui caresser la joue en le regardant longuement dans les yeux. Ca aussi tu adores faire. Le regarder dans les yeux avec intensité pour lui transmettre tout l’amour que tu ressens à son égard.
« Non, c’est bien la première fois… et j’espère qu’il y aura encore plein de fois suivantes… »
Tu reviens l’embrasser tendrement, serrant son corps contre le tien avant de te séparer de lui pendant un instant, le regardant alors dans les yeux.
« Ne bouge pas, je reviens… »
Tu lui souris et tu l’embrasses sur le front avant de te lever du lit, entièrement nu. De toute façon, après tout ce que vous venez de faire, ce n’est pas de te balader nu qui devrait déranger Nate. Il doit connaître ton corps sous toutes les coutures maintenant. Tu te diriges vers la salle de bain et tu vas faire couler l’eau dans le bain. Tu la règles pour qu’elle soit assez chaude, mais pas trop non plus. Tu n’as pas envie de l’ébouillanter non plus. Et ce n’est pas parce que toi tu adores l’eau très chaude que c’est le cas de Nate.
Tu reviens quelques minutes après près de Nate et tu te penches sur lui pour lui voler un chaste baiser. S’il est trop faible pour aller jusqu’à la salle de bain, alors tu le porteras. Tu glisses donc un bras sous ses jambes et l’autre dans son dos avant de le soulever du lit pour le porter. Tu souris largement.
« Au bain ! Ca nous fera du bien à tous les deux… Et je changerai les draps avant qu’on ne dorme… Comme ça tu dormiras dans un lit tout propre. »
Est-ce une façon de dire que vous en avez mis partout en faisant autant l’amour ? Oui, certainement. Tu n’as pas du tout porté d’importance au fait de salir le lit. Un petit changement de draps et le tour est joué ! Tu l’emmènes donc à la salle de bain et, avec agilité, tu grimpes dans la baignoire avant de le déposer pieds dans l’eau pour vous permettre de vous installer plus facilement. Tu t’assieds dans l’eau, soupirant de bien-être en sentant l’eau chaude recouvrir ton corps. Tu prends ensuite la main de Nate pour le faire s’asseoir entre tes jambes, dos à toi. Et tu l’attires tout contre toi pour le serrer dans tes bras, mais surtout pour qu’il puisse se reposer contre ton corps. Ainsi, il n’aura pas à utiliser d’énergie pour se maintenir droit.
Ta main vient se poser sur son torse que tu caresses du bout des doigts. Tu viens déposer de petits baisers dans son cou et sur son épaule avant de te laisser aller toi aussi contre la baignoire pour pouvoir profiter au mieux. Tu soupires à nouveau de contentement.
« Il faut juste qu’on évite de s’endormir là… Si tu tombes malade, on va dire que c’est de ma faute parce que je t’aurai épuisé au point que tu t’endormes dans la baignoire. »
Tu ris un peu alors que ta main ramène de l’eau chaude sur le torse du plus jeune, le gardant bien au chaud.
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Jeu 22 Aoû - 16:51
Rendez-vous galant
Il y avait des moments, comme cet instant, où on oubliait tous les autres choses qui pouvaient exister pour se concentrer que sur une chose ! Ou une personne. J'avais toute mon attention, toutes mes pensées tournées vers Edouard. J'étais juste bien contre lui, lové contre son torse chaud, à respirer son odeur des plus exquise. J'aurai bien pu m'endormir comme ça, mais je me sentais trop collant et trop transpirant pour ça. J'avais clairement besoin de me laver. Sauf que je n'avais plus de force non plus. Ou pas de volonté aussi... parce que j'étais un gros flemmard !
« Pour les « encore plein de fois suivantes ! » je dis pas non »
Lui souris-je, un poil coquin. Il me refaisait l'amour comme ça quand il voulait et ou il voulait... me voilà à fantasmer. Je m'imaginais déjà faire l'amour dans des lieux insolites, voir interdit avec lui. Genre la salle de classe... oh lala, calme toi Nate !
Je répondis à son baiser avant de faire une moue quand il se détacha de moi et me prévint qu'il revenait.
« Prends pas trop ton temps... »
Marmonnai-je avant de rouler sur le ventre et caler mes bras sous ma tête. Aaah les draps sentaient son odeur... Je remuais les jambes. J'avais tellement envie de sautiller partout, de prévenir tout le monde que j'étais juste heureux et que je passais un moment magique avec l'homme que j'aimais. Et qui m'aimait aussi ! Le temps que Edouard revienne, je repassais en tête les images de notre échange charnel. Ce qui me fit sourire, et rougir ! Edouard était vraiment doué. J'avais tellement l'impression d'avoir... rien fait comparé à lui. Il fallait que je me rattrape la prochaine fois ! Ou que je lui demande ce qu'il voulait que je fasse pour qu'il prenne autant de plaisir que moi !
Je retirai mon visage de mes bras quand je l'entendis revenir. Je me redressais doucement et le regardai avant de rire quand il me porta comme une princesse dans ses bras.
« Comment je suis trop bien traité avec toi. »
J'embrassais sa joue en même temps de passer mes bras autour de sa nuque.
« Je suis comme un prince ! »
Et ça me plaisait bien ! Je me laissais donc porter jusque la salle de bain. Je l'embrassais sur les lèvres avant qu'il ne me dépose dans la baignoire. Je le laissais se caler contre moi et j'appuyais mon dos contre lui. Je soupirai de bien être.
« Aaah ouais, je risque de m'endormir moi là comme ça... mais je vais résister ne t'en fait pas ! Et profiter de te voir tout nu! »
Je tournais un peu mon visage vers lui pour le regarder en coin et lui sourire.
« Et non, personne ne saura que tu m'as épuisé... enfin peut-être Cédric ! »
Ricanai-je avant de me frotter doucement les bras.
« Dis... j'ai trouvé que, enfin je trouve que faire l'amour avec toi, c'est vraiment super. J'ai juste rien à redire sur ce que tu fais. Mais je me sens nul à côté de toi. J'ai l'impression de moins faire, ou pas assez et que.. t'as peut-être pas le même plaisir que moi ? Enfin je sais pas. »
Je haussai les épaules.
« Si tu veux que je fasse plus ou que tu trouves que je fais mal, tu me le dirais hein ? »
Un prince… Nate ne croyait pas si bien dire ! Il était bel et bien ton prince ! Et ça te fait plaisir de le traiter comme ça. Tu aimes prendre soin de lui, faire en sorte qu’il se sente bien. Après tout, il n’a pas eu que des moments faciles ces derniers temps. Entre son nouveau rôle de père, son mariage qui n’a pas eu lieu, son année ratée, et votre relation on ne peut plus compliquée… Bon, ce n’était pas simple pour toi non plus, mais… Toi tu savais déjà depuis longtemps que tu l’aimais et que tu ne voulais pas le laisser tomber. Lui, ça ne fait que peu de temps qu’il veut bien accepter ses sentiments pour toi… Donc oui, ça fait beaucoup de choses à assimiler en peu de temps. Donc, après l’amour, tu es bien content de pouvoir prendre soin de lui.
Une fois dans la baignoire avec lui, tu ris un peu quand tu l’entends te dire qu’il risque de s’endormir mais qu’il va résister, surtout pour te voir tout nu. Tu souris et lèves les yeux au ciel en continuant à ramener un peu d’eau bien chaude sur le torse du plus jeune.
« Tu peux me voir tout nu quand tu veux. Ce n’est pas comme si c’était un problème. Il n’y a pas besoin de prendre un bain… Même si j’adore être là avec toi dans mes bras. »
Pour illustrer tes propos, tu penches légèrement la tête pour venir déposer de petits baisers dans le cou de ton amant. Tu te montres tendre, délicat, tes doigts continuant de caresser le ventre et le torse de Nate. Tu ne te lasses pas de le toucher, de le caresser, de l’embrasser… C’est ton passe-temps favori, il faut bien l’avouer ! Et toute cette période où tu as dû te contenir n’est vraiment pas un bon souvenir pour toi. Après tout, c’est lui qui a commencé à te chauffer, à te proposer ce genre de choses… Et finalement, tu t’es retrouvé frustré comme tu n’aurais jamais pu l’imaginer.
Tu hausses les sourcils quand tu l’entends dire qu’il risque de raconter tout ça à Cédric. Ce n’est pas comme si tu trouvais ça étonnant. Vraiment pas. Après tout, c’est son meilleur ami. C’est normal de raconter ce genre de choses à son meilleur ami, non ? Et puis tant qu’il lui dit qu’il prend vraiment du plaisir, ça te va. Bon, s’il va lui raconter que tu n’es pas à la hauteur, c’est une autre histoire, mais… tu crois savoir que tu te montres à la hauteur de ses exigences pour le moment.
« Ah oui ? Et quand tu lui parles de ce genre de choses… tu lui racontes tout ? Je veux dire dans les moindres détails ? »
Non pas que ça te dérange, loin de là, il peut bien dire ce qu’il veut. Mais tu ne seras plus étonné si tu vois certains regards de la part de Cédric. C’est vrai que si Nate lui relate vos ébats dans les moindres détails, il y a de quoi te regarder un peu bizarrement. Enfin… tu sais aussi qu’ici, les gens ont tendance à se laisser aller à tous leurs désirs. Et tu ne vois pas pourquoi Cédric échapperait à la règle. Alors il n’y a pas de raison qu’il vous juge, Nate et toi.
La suite de ce que te dit Nate, tu ne t’y attendais certainement pas. Tes yeux s’ouvrent plus grands alors que tu clignes un peu des yeux en l’écoutant. Qu’est-ce qu’il raconte, là ? Il a peur d’être nul par rapport à toi ? Tu as envie de lui dire que ce qu’il raconte est vraiment du grand n’importe quoi, mais tu ne vas pas lui dire comme ça. Tu le fais légèrement bouger sur le côté pour que tu puisses le regarder dans les yeux.
« Nate… tu n’es pas nul, loin de là. Tu es parfait, vraiment… Je n’ai jamais autant désiré quelqu’un… Ce n’est pas pour rien que la première fois j’ai été incapable de te résister. Et c’est pour ça aussi que dès que tu mets un pied ici, j’ai envie de te faire l’amour encore et encore. »
Tu viens poser une main sur sa joue et tu te penches pour venir l’embrasser amoureusement, prenant le temps d’essayer de faire passer dans ce baiser tous les sentiments que tu as pour lui.
« Il n’y a pas de raison pour qu’un jour je n’aime plus faire l’amour avec toi… mais si un jour je veux plus… ou que je veux que tu fasses autre chose, je te le dirai. C’est promis. Mais pour le moment, j’aime cette façon que tu as de te laisser aller dans mes bras… J’adore sentir ton corps se tendre sous le mien… entendre tes gémissements… Tu es parfait… »
Tu le regardes dans les yeux avant de revenir l’embrasser avec amour. Rompant le baiser, tu le laisses se recoucher contre toi alors que tu prends un peu de gel douche dans tes mains pour venir le laver, passant tes mains sur son torse, ses bras, ses hanches. Un petit sourire aux lèvres, tu viens nettoyer son sexe.
« Et je te signale que c’est toi qui m’as tout appris… »
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Jeu 22 Aoû - 16:52
Rendez-vous galant
Aaah, je passais l'une des plus belles soirées de ma vie ! J'étais bien là, dans ce bain tout chaud, contre Edouard ! Edouard, l'homme qui prenait soin de moi, l'homme qui était amoureux de moi ! Et puis, c'était pas comme si il était moche. Non, il était très beau. Plus que beau... j'aurai jamais autant fantasmé sur lui en cours d'histoire sinon... enfin voilà. Il était tout à moi ! C'était très satisfaisant mais aussi très... angoissant. C'était fou ! J'avais tout pour être heureux maintenant, et je me stressais déjà de savoir si je le satisfaisais bien ou non. S'il m'aimait vraiment, s'il allait déjà me quitter... je me prenais vraiment trop la tête. Il fallait vraiment que je profite de l'instant T sans penser au futur. Ou voir un futur positif où il serait à mes côtés !
Ses baisers sur ma peau, ses mains qui caressaient mon corps... ça avait le don de m'apaiser. Comme s'il sentait que ça allait pas. Je sentais mon cœur s'accélérer en pensant que je l'aimais vraiment beaucoup trop fort.
« A Cédric, on se raconte tout. Enfin presque tout ! Pas forcément dans les moindre détails... parce que ça reste mes moments avec toi. Mais je vais lui dire que ça c'est très bien passé et à quel point tu es un dieu du sexe ! »
Ris-je.
« Puis, ne t'en fais pas, je garde en tête que ça reste un de tes collègues maintenant. J'aimerai pas que vous soyez mal à l'aise en vous croisant dans les couloirs de l'école... quoique ça pourrait être marrant à voir. »
Ricanai-je en imaginant la scène. Juste pour ça, je pourrai bien tout raconter dans le moindre détails à Cédric, haha ! J'étais vraiment trop taquin !
Concernant mes inquiétudes sur le sexe, Edouard me fit tourner vers lui avant de me répondre. Je le regardai en me pinçant les lèvres avant de rougir et lui faire un sourire timide.
« J'ai trop envie de te faire plaisir et ne pas te perdre que je crois que... je me mets beaucoup trop la pression. »
Avouai-je. Puis, toutes les fois où j'ai été largué ou refoulé, c'était parce que j'étais pas assez bien pour mes ex niveau sexe. Ou du moins, ça avait été vrai pour une partie d'entre eux... aprés il y avait ma personnalité qui avait sûrement joué aussi... Je fermais les yeux quand il approcha son visage du mien pour m'embrasser amoureusement. Je bougeai dans l'eau pour me mettre face à lui sur mes genoux et passai mes bras autour de sa nuque. Je caressais ses cheveux maintenant humide avant de le regarder dans les yeux.
« Moi qui t'a tout appris ? »
Je penchais la tête sur le côté et le regardai, détaillai son visage que je trouvais si beau.
« Dis... tu as couché avec combien d'homme avant moi ? Beaucoup ? Un ou deux ? Ou je suis le premier ? »
Je continuai de caresser l'arrière de son crâne distraitement. Non pas que j'allais être jaloux. J'avais couché avec pas mal d'homme avant lui, et une femme aussi... donc je n'allais pas lui donner de chiffre. Et le passé, était le passé. C'était juste pour savoir en fait, parce que je voulais tout savoir de lui. Je l'embrassais à nouveau avant de me recaler dos contre lui. Je souris en le voyant commencer à me savonner et me laver. Je me laissais faire, appréciant grandement et fermant les yeux. Je lâchai un gémissement de surprise en sentant sa main sur mon sexe. Je resserrai un peu les cuisses.
« Je risque de pas rester sage si tu t'appliques trop ici... »
Murmurai-je sentant une bouffée de chaleur prendre possession de tout mon corps et mon membre commençait à se réveiller.
C’est vrai que Cédric et toi êtes collègues maintenant. D’ailleurs, c’est toujours un peu étrange de retrouver un ancien étudiant comme collègue. En fait, tu dois bien avouer que tu aurais aimé que, d’une certaine façon, Nate devienne lui aussi ton collègue. Bon, c’est vrai que tu aurais eu encore plus de mal à rester sage près de lui, mais… au moins vous n’auriez plus eu à vous cacher au sein de l’établissement. Même si Nate est un adulte à part entière, il n’en reste pas moins ton étudiant. Et pour certains, c’est assez compliqué à accepter. Toi, tu t’en fiches bien pas mal maintenant. C’est vrai qu’au début c’était difficile de te laisser aller, mais… il faut croire que l’amour donne des ailes !
Tu ris un peu quand il émet l’idée de tout raconter à Cédric pour voir ensuite vos têtes quand vous vous croiseriez. Tu serais peut-être un peu gêné. Bien que… pas tant que ça en fait. Cédric ne doit pas être des plus innocents non plus. Même si tu trouves ça un peu bizarre qu’ils n’aient pas fini ensemble. Certainement que du point de vue sexuel ça ne pouvait pas coller entre eux. Et c’est tant mieux pour toi ! Tu connais les sentiments de Nate à l’égard de son meilleur ami et tu ne peux pas lui reprocher. Tu espères jusque que ceux qu’il éprouve pour toi sont aussi fort, sinon plus.
« Tu serais surpris. On pourrait peut-être en discuter tout à fait normalement autour d’une tasse de café. »
Ah ça tu avais remarqué qu’il se mettait trop la pression. Et c’est comme ça depuis que votre relation est devenue plus sérieuse. Parce qu’au début, c’est lui qui te sautait dessus ! Sûrement parce que ce n’était censé n’arriver qu’une ou deux fois. Vous n’étiez pas destinés à finir ensemble. Mais comme tu es têtu et que tu es tombé follement amoureux de lui… Aucune chance que tu le lâches. Enfin… tu l’aurais laissé faire sa vie avec quelqu’un d’autre si c’était ce qu’il avait voulu… tu n’es pas égoïste au point de le forcer à être avec toi alors que ce n’est pas ce qu’il veut.
Tu le laisses se tourner vers toi et tu hausses un peu les sourcils. Est-ce qu’il est vraiment sérieux quand il te pose cette question ? Tu pensais qu’il savait. Tu souris tendrement et lèves la main pour venir la poser sur sa joue et la caresser avec tendresse sans jamais lâcher son regard.
« Nate… Tu es le premier. Il n’y a eu que des femmes avant toi. Et une seule que j’ai aimée. Mais il n’y a plus que toi aujourd’hui. Tant que tu voudras bien de moi, mes mains ne toucheront que toi et mon cœur t’appartiendra entièrement. »
Tu l’embrasses amoureusement avant de le laisser se remettre dos à toi. Tu entreprends alors de le laver, souriant largement en entendant son petit gémissement de surprise lorsque tu viens t’occuper de son membre. Tu l’écoutes et tu penches la tête pour l’embrasser dans le cou.
« Ah oui ? Je croyais pourtant que tu étais épuisé ? Et si tu me laissais m’occuper de toi ? »
Tu mordilles la peau tendre de son cou alors que ta main s’enroule un peu plus autour de son membre pour entamer de lents mouvements de vas et viens. Ton pouce s’amuse à venir taquiner l’extrémité de sa verge. Lentement, ton autre main glisse le long de son corps avant de venir s’égarer sur l’une des cuisses du plus jeune. Et avec douceur, tu viens taquiner son intimité, la massant avec délicatesse.
« Il faut bien que je te nettoie ici aussi… »
Ces mots, tu les souffles à son oreille alors que tu fais doucement entrer deux doigts en lui. Tu y vas avec lenteur, très doucement, cherchant son point sensible. Une fois sa prostate près de tes doigts, tu te mets à la malaxer délicatement pour lui donner du plaisir sans avoir besoin de plus que ça. D’une main tu caresses son membre, et de l’autre, tu le pénètres avec douceur, bougeant parfois tes doigts, les faisant parfois aller et venir ou les écartant pour laisser s’échapper la preuve de vos ébats passés. Mais tu en reviens toujours à son point sensible pour lui donner du plaisir.
« Une dernière fois, Amour… Après je te laisserai dormir… »